Plus ample connaissance... chez moi. [Hentai] (HELIA AITZU)

Je regarde autour de moi une fois qu'il m'ai autorisé à entrer. C'est d'un luxe comparé aux pauvres caravanes dans lesquelles j'ai vécu , passant de marchés en marché pour enfin parvenir à me vendre. Je reste ainsi immobile , la lèvre légèrement mordillé , intimidé mais surtout très timide à l'idée d'aller plus loin. Il s'approche et enlève ma veste , j'ai un léger mouvement de recule , la peur qu'il me frappe comme mon ancien maître sans doute. Mais il n'en fait rien , se contente de m'ôter sa veste et l'accroche à son porte manteau. Instinctivement , je pose mes bras sur ma poitrine comme pour me protéger , l'instinct ... ça vous mène loin.

- Comme tu peux le voir je vis seul... enfin plus maintenant.

Bonté divine , dit-il vrai ? Il vis seul ? Mon dieu c'est magnifique , pas besoin de peau de vache à exterminer . A cette idée un mince sourire étire mes lèvres mais se fige , je suis des yeux sa main qui place une mèche de mes cheveux derrière mon oreille , le contact de sa peau provoque mes rougissements. Ses yeux m'hypnotise.. que m'arrive-t'il ?

- Tu es chez toi ici désormais, je te laisse visiter la maison et je vais te faire coulez un bain.

Ses lèvres se posent sur mon front et je vacille , indécise entre le choix de m'écrouler contre lui ou sur le sol. La première idée me semble la plus juste mais je n'en fait rien , me contentant de sourire d'un air béat. Je le regarde s'éloigner et un peu plus tard , sans visiter les lieux , le suis jusqu'à une salle de bain où l'odeur de fraises se fait ressentir. Je le retrouve accroupis près de la baignoire .. pour moi.. il me fait réellement couler un bain je n'ai pas rêvé !

" C'est à moi de m'occuper de vous... pas le contraire.. "

Je rougis bien plus face à ses petites intentions.

-Hélia, je vais te chercher des affaires, a mon retour je veux que tu sois dans l'eau

Il me caresse la joue et je m'attends presque à ce qu'il me ré-embrasse quelque part. Le front ou bien les lèvres c'est égal , je suis vouée à ses ordres de toute façon. Mais hélasse je vais devoir me contenter que d'une seule petite caresse timide. Je me fait violence pour ne pas soupirer de déception. Une fois qu'il se fut éloigner , je ferme la porte mais ne la verrouille pas.. hmm .. je ne sais pas pourquoi. Je me déshabille et me laisse glisser dans cette mousse douce et à la senteur délicate. Je n'ai encore jamais ressentis un tel bien-être auparavant. Il ne tarde pas de revenir avec vêtements pour homme , je rougis , me sachant nue devant lui.

- Tu sais, ce n'est pas parce que tu es une esclave que je te considère comme telle. A mes yeux, tu es une petite princesse... dont il faut prendre soin.

Je suis consciente de ne pas beaucoup parler , mais que dire avec un être aussi parfait ? Je suis donc une princesse. Qu'est-ce que c'est qu'une princesse au-juste ? Et ça veux dire quoi prendre soin à pars le fait que ça doit être mon boulot ? Je me laisse nettoyer les cheveux , soufflant doucement sur la mousse , m'amusant avec celle-ci , reniflant les effluves de roses. Une fois bien certaine qu'il est nettoyé mes cheveux correctement , je me laisse couler dans la baignoire et emmerge quelque instants plus tard , rincer , les cheveux plaqués en arrière que je met sur le côté.

" Vous êtes bien trop gentil. Je ne vous remercierais jamais assez ! "

Et hop un nouveau baiser sur mon front en plus de ses yeux indiscrets qui font des allers retours entre mon corps sous la mousse et mon visage , ça main qui a caresser ma cuisse , pour tout ceci au moins une fois par jour je serais prête à travailler dix fois plus. Quoi de plus naturel que de remercier quelqu'un qui vous offres l'hospitalité et le soin nécessaire ? Je suis si chanceuse d'être tombé sur lui plutôt qu'entre les mains de psychopathes pervers. Il me demande de finir de me laver , qu'il m'attends au salon. Pour seule réponse à son sourire je hoche timidement la tête et termine ma toilette soigneusement. Une fois bien propre je sors de la baignoire , me sèche , enfile les grands vêtements qu'il ma offert. Ca fera l'affaire pour aujourd'hui mais pas question que je reste comme ça hein , faut pas abuser non plus ! Je ressemble à un basketteur avec la peau sur les os. Bref je vide la baignoire et nettoie la salle de bain , prenant mon rôle " d'esclave , servante " bien trop à coeur. Une fois que tout brille du sol jusqu'au plafond , mes cheveux séchés , un petit coup d'oeil au miroir , je le rejoins au salon.

" Je suis prête , mon maître. "

Parfaitement posté devant lui , je lui offre un sourire des plus polis.

Il n'hésite pas à me déshabiller du regard , aucunement gênée de me savoir là à demi-nue , une lueur de désir glisse dans ses yeux. Bon sang où est-ce que je suis tombé ? Finalement il replonge ses yeux dans les miens et son sourire me fait vaciller sur place , je lui rends timidement un sourire maladroit. Mais rapidement il se crispe , je ne capte même pas ce qu'il vient de me dire sur le sommeil , la journée , la nuit , dormir ou manger. Son corps brûlant tout près du miens , dans mon dos , ses mains sur mes hanches qui embrasent ma peau. Reprends toi , Hélia ! Mais comment réfléchir quand son souffle effleure mon oreille ? Qu'il me propose de dormir dans sa chambre. Je suis indécise entre m'accrocher mollement à son corps et m'endormir tout contre lui ou créer une distance de maître et esclave en allant dormir dans la chambre d'amis. J'aimerais être raisonnable et pourtant pas moyens de rester concentré cinq petites minutes. Je tourne ma tête sur le côté pour avoir un contact visuel avec lui.

" Ce qui vous semblera le plus juste .. "

Je laisse ma phrase en suspend , louchant sur ses lèvres avant de le regarder une nouvelle fois dans les yeux.

" ... Mais j'ai peur toute seule dans le noir.. "

Son corps se colle plus au miens , son bassin contre mon derrière et son torse contre mon d'eau , son odeur m'hypnotise et s'infiltre dans ma gorge , je suis toute chamboulée.

- Bon sang Hélia... tu me rend fou...

J'ai bien entendu ? Son souffle est tellement langoureux à mon oreille que j'ai l'impression que tout s'écroule dans ma vie comme dans mon coeur. Je fait volte face du moins c'est lui qui me le permet , je ne suis plus maîtresse de mon corps , évidemment car je lui appartiens , il ne peux que s'occuper et s'amuser avec , je n'ai pas mon mot à dire. Du moins , ce n'est pas comme si j'était contre , bien au contraire , je ne demande que ça ! Ses lèvres se posent sur les miennes et je n'hésite pas à prolonger maladroitement. Puis peu à peu je prends des forces et de l'agilité pour rendre se baiser plus fougueux , glissant mes bras autour de lui , ne résistant pas à l'envie d'entre-ouvrir les lèvres.

" Succombons à la folie... "

Je glisse entre deux baisers langoureux quand je reprends mon souffle , d'une petite voix , un murmure à peine audible. Qui aurait cru qu'en l'espace d'une journée je passe de la misère au luxe , en succombant d'ailleurs à la luxure , au corps brûlant et musclé qui s'offre à moi.

Mon souffle est très court , très court , le désir me submerge un peu plus encore tandis que ses lèvres viennent s'amuser sur ma gorge , le mordre avec une infime délicatesse , que sa main tâte mes fesses doucement. Il n'y a plus aucune limite à cette envie brûlante. D'une voix suave à m'en damner, il me demande si je veux être sienne. Comment résister et dire non maintenant alors qu'il vient de me faire frémir et redécouvrir le plaisir de deux corps ainsi collés l'un contre l'autre.

" Oh oui.. s'il vous plait mon maître .. "

Je reprends ses intonations suaves , me détachant de ses bras un petit moment et lire sur son visage la frustration de ne plus m'avoir , l'envie , le désir , je veux le voir ainsi. Tout ça tandis que mes mains enlève doucement le t-shirt bien trop grand pour moi et le laisse tomber sur le sol. Soudainement intimidée , je baisse les yeux avec un peu de rouge qui pointe sur mes joues , mes bras à peine croisés sur ma poitrine dénudée , je n'ose le regarder mais laisse mon imagination vaguée. L'imaginer sans ses vêtements.

Son regard de braise sur mon corps est insoutenable. Je ressens l'envie dans sa légère grimace quand je m'éloigne , mais très vite , dès qu'il parcours ma poitrine des yeux , le désir reprends très vite le dessus et il m'attire jusqu'à sa chambre et la chaleur monte d'un cran. Rien que de savoir son lit tout près et son corps contre mon corps nu me donne des bouffés de chaleur. Sans que je n'ai le temps de réagir me voilà propulser contre la porte verrouillée , le bois frottant contre mon dos nue me fait arracher une plainte mais c'est d'autant plus excitant quand il a une légère touche de violence. Je fait valser nos langues sensuellement , poussant des gémissement entre deux baisers quand ses mains titilles ma poitrine , lui déboutonnant sa chemise petit à petit , je laisse mes doigts parcourir son torse doux.

" Quelle musculature .. "

Je suis assez sous le charme de toute sa beauté , laissant mes doigts tracés les contours de ses muscles , emprisonnant ses lèvres entre les miennes. Quel goût .. je n'ai jamais ressentis ça auparavant. Tout ce qui émane de lui me rends fragile et frêle , comme une rose que l'on doit manier avec un soin infinis. Je quitte sa bouche pour cette fois parcourir les traits de son visage de mes lèvres.

Sa chemise tombe sur le sol et j'admire ce corps musclé de plus près quand il vient me coller contre lui. Tout mes sens sont en alerte , des soupirs de plaisir s'échappent de mes lèvres au fur et à mesure qu'il descend ses lèvres jusqu'à ma poitrine. Mes tétons rougissent se faisant ainsi maltraiter dans le bon sens du terme par sa bouche et sa langue. Doucement je le repousse mais pour laisser glisser le long de mon corps mon short trop grand et de l'enjamber afin qu'il rejoigne le t-shirt à l'autre bout de la pièce. A présent totalement nue , je lui tourne le dos pour rejoindre son lit que j'escalade à quatre patte. Lui lançant un regard par dessus mon épaule , je cherche ses yeux emprunts d'envie vorace et féroce , mon corps glissant doucement sur les draps , en biais , un bras sur ma taille , je lui fait les yeux doux pour l'inciter à me rejoindre même si je doute qu'à ce stade il ne veuille plus. Ce n'est plus une relation entre maître et esclave mais considérablement entre deux.. adultes normaux. Il est tellement sexy , j'ai une chance de dingue d'avoir été choisis. J'imagine si une autre fille se serait retrouvée dans ses draps et ça me répugne mais le désir de le sentir sur moi est bien plus forte.

Alors que je me concentre a lui donner du plaisir, elle me repousse pour enlever son short. Mon éréction plus que visible se tend un peu plus a la vue de son corps nue. Je me fais violence pour ne pas la prendre contre cette porte. Elle rejoint le lit avec une confiance déconcertante, se permettant même de me tenter en arborant des positions plus que suggestives. Je deboutonne mon pantalon a la hâte, me retrouvant en boxer avant de la rejoindre sur le lit. Mes lèvres retrouvent les siennes pour un baiser sauvage, je reprends mes caresses le long de sa cuisse, l'effleurant du bout des doigts. Je finis par caresser son intimité, pressant mon érection contre sa cuisse. Je n'ai même pas de mot pour décrir a quel point je la désir...

Je rougis ainsi de contentement à voir son érection plus visible que jamais. Des frissons parcours mon corps.. ainsi fut mon travail. Dans le sens où , revenant d'un marcher d'esclaves , je roucoule dans les draps de mon maître. Malgré l'atmosphère ô combien chaleureuse de l'environnement , j'ose imaginer que certains sentiments transparaissent de tout cela. L'amour , c'est plus doux quand on aime. Je veux bien y croire. Je suis encore trop étourdie , trop indécise , trop vierge pour mettre une opinion sur tout ça. Je veux seulement me concentrer sur ces câlins sauvages et ces baisers furieux. Il se déshabille et je me délecte de ce spectacle , un brin frustré qu'il se soit arrêté en si bon chemin pour me retrouver. Pour la première fois des pensées pas catholiques me passent par la tête , ma peau brûle d'excitation rien qu'à ses pensées à la limite de la perversité.
Nous échangeons un baiser vorace qui me fait gémir , un gémissement profond , envieux , animale. Je succombe de plus en plus au pêché humain qui jusqu'ici m'était inconnu. Ses trois tracent des lignes de feu sur ma peau , peau qui réagis instantanément à son toucher. Il est maître de mon corps comme de mon coeur à présent , pianotant sur moi comme l'instrument dont il connait les notes par coeur. Sa main s'aventure finalement sur mon intimité , provoquant d'autres gémissements ingérables. Tout mes sens sont en alertes , du grain de ma peau , aux sensations de ce qui se presse contre ma cuisse. Ce que je finit par caresser , lentement , pas plus experte que lui mais en y mettant toute la douceur du monde. Ondulant sous son corps , je lui donne autant de plaisir qu'il m'en donne , que ce soit dans mes mouvements réguliers sur son membre à travers son boxer que dans mes baisers. Je déjoue les plans de son dernier vêtement , y passant délicatement la main , timide mais pas hésitante.

Je découvre. Je m'éveille littéralement à de nouvelles sensations. Je me sens protégée et libre , blottis contre mon maître , à ronronner comme un chaton. Ses mains parcourent mon corps et je défaille grâce à la moindre de ses caresses. Ma peau s'embrase lorsque ses doigts tracent des lignes de feu , le magicien de mon corps ou alors le musicien qui re découvre un instrument , le tâtonne avec rigueur mais sensualité. Il fait durer , je gémis pour exprimer mon mécontentement désireuse de savoir ce qui m'attends au-delà de ce feu ardent qui me consume. Parcourue de frissons , mes doigts se serrent en un poings sur sa peau , y gravant mes traces , mes lèvres font saigner les siennes tant le baiser partager devient intense. La situation prends de l'ampleur et j'ai du mal à contrôler mes gémissements lorsqu'il glisse ses doigts en moi , qu'il bouge , qu'il me fait languir , je perds contrôle de mon coeur. Ce dernier manque un battement , mon souffle est presque absent , ma peau se couvre de chaire de poule. Contre ses lèvres , désormais offerte à lui , je murmure de ma plus belle voix.

- S'il vous plaît mon maitre.. je.. han..

Je ne parvient pas à exprimer ce désir que je possède pour lui. Je l'admire avec mes traits juvéniles , imparfaits mais doucereux. Mordillant sa douce lèvre pulpeuse pour mettre un terme à ma phrase.

J'archives le rp, personnage supprimé